Je m’appelle Joakim et je pratique le Jiu-Jitsu brésilien depuis plusieurs années. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai construit ma vie autour du tatami : les rounds, les progrès, les compétitions, la communauté… jusqu’au jour où tout s’est arrêté net. En plein combat, une mauvaise pression et mon genou a lâché : déchirure du tendon. La blessure, la douleur, l’arrêt forcé… mais surtout la frustration de ne plus pouvoir m’entraîner m’ont fait réaliser à quel point nos genoux sont essentiels dans ce sport.
Pendant ma récupération, j’ai testé tout ce qui existait : genouillères de running, modèles pour le fitness, pour la muscu, versions “premium” avec scratchs, et même des produits annoncés comme “spécial grappling”. Et à chaque fois, le même constat : rien n’était vraiment fait pour le combat au sol. Ça glissait, ça pliait, ça irritait derrière le genou, ça devenait lourd de sueur, ça s’usait en deux semaines, ou ça n’offrait tout simplement aucun maintien réel. Bref, beaucoup de promesses, mais en réalité… du bullshit.
C’est là qu’est née ARANEA : une marque créée non pas par un marketeur, mais par un combattant blessé, déterminé à revenir sur le tatami sans compromis. J’ai voulu créer une genouillère qui répond réellement aux besoins des pratiquants de sports de combat : stabilité 360°, compression uniforme, zéro scratch, zéro gêne, résistance au tatami, confort en flexion et absorption des chocs. Chaque détail a été pensé pour une seule mission : permettre aux combattants de s’entraîner plus longtemps, plus fort, et avec plus de confiance.